Il y a quelques années j’accompagnais mon premier conjoint à des après midi de ball-trap qui se terminaient en apéro. Il faisait très chaud ce samedi et j’étais court vêtue d’une mini jupe et d’un tee shirt sans soutif dessous. Sous ma jupe j’avais une culotte blanche en dentelle un peu transparente. Pendant l’apéro, nous nous sommes assis Chris et moi à une table avec d’autres tireurs ( !). Comme toujours, mon conjoint avait les mains baladeuses et ses doigts passaient sous ma jupe et me caressaient un peu pardessus ma culotte. Nos interlocuteurs regardaient mais je ne pense pas qu’ils pouvaient voir grand chose. Enfin je crois. Pour affirmer encore plus sa supériorité masculine, Chris me demanda d’aller lui chercher d’autres cigarettes dans la voiture. Je m’exécutais en femme docile. Dehors la chaleur est suffocante, pas un nuage et soleil de plomb. Je m’avance vers les voitures et entre deux je vois un homme qui semble tituber. Quand j’arrive prés de lui il s’effondre entre les deux voitures. En fait il est ivre, je le connais de vue et je ne me souviens pas l’avoir vu à jeun une seule fois ! Je m’approche de lui, essaie de le relever pour l’assoir mais il est trop lourd. Je lui parle, il ouvre les yeux, il se redresse sur ses fesses, il regarde ma jupe, marmonne je ne sais quoi et il tends ses bras vers moi. Il remonte ma jupe sur mes hanches et baisse ma culotte à mi-cuisse, je me retrouve nue les fesses et mon abricot à l’air.
Je n’ai même pas le temps de comprendre ce qui m’arrive, il pose ses mains sur mes fesses et m’attire vers son visage. Je suis déséquilibrée par son mouvement et j’écrase ma chatte sur sa bouche. Sa langue entre immédiatement en moi et me fouille la fente d’un mouvement ample. Il me lèche goulûment en me griffant les fesses. Je parviens enfin à le repousser, il se cogne contre la voiture et s’affale sur le sol en ronflant. Je remonte ma culotte, baisse ma jupe et l’engueule. Il s’en fout, il dort. Personne sur le parking, ouf ! Personne ne m’a vu ! Je suis à la fois en colère et troublée, très troublée. Je veux partir vers ma voiture mais il est en plein soleil. Mon âme charitable reprends le dessus ( ?), je reviens vers lui et de nouveau essaie de le redresser pour qu’il se mette à l’ombre. Il ronfle très fort, je lui tapote la joue, il ouvre ses yeux vitreux et je parviens tant bien que mal à le redresser, il m’aide un peu et quand il est assis contre la voiture, je sens ses mains qui grimpent le long de mes cuisses. J’entends des mots comme jolie, chatte et d’autres… Sa main droite entre dans ma culotte devant et sa main gauche passe derrière sous ma culotte et sur mes fesses. Je le laisse me tripoter mais il glisse contre la voiture, pour le rattraper j’écarte mes pieds et me mets au dessus de ses jambes. En faisant ce mouvement je lui offre un accès direct à ma fente et je sens ses doigts entrer en moi, il me doigte habilement malgré son ivresse. Je suis sous l’emprise de sa main. Je regarde autour de moi, personne ! Je suis debout entre deux voitures les jambes écartées au dessus d’un homme saoul que je tiens par les épaules et qui me tripote la chatte et les fesses aves ses deux mains sous ma jupe. Sa main gauche tombe par terre, mon tripoteur dort ! Sa main droite est restée dans ma culotte retenue par celle-ci mais ses doigts ne bougent plus. J’ai très envie de jouir, je me baisse en écartant mes jambes et m’agenouille sur lui. Je prends sa tête entre mes mains et lui parle en espérant quelques mouvements de ses doigts dans ma culotte. Je frotte ma chatte sur sa main endormie, quelques fois il ouvre les yeux à peine, m’envoie quelques vapeurs anisées, regarde vers ma jupe et bouge ses doigts dans ma fente. Je jouis sur sa main. Je me remets debout, rapide coup d’œil, personne, je me réajuste. Oups j’ai failli oublier les cigarettes ! En repassant je regarde mon doigteur qui dort assis à l’ombre contre la voiture. En revenant dans la salle, j’avertis de la situation et m’assois à coté de Chris.
J’ai revu mon tripoteur plus d’une fois, il ne m’a pas reconnue, tant mieux. J’ai manqué m’étrangler quand je l’ai entendu commander au bar : « deux doigts, pas plus ! »
sept 172012